20 octobre 2011
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Bilan des écoutes ELP
Un groupe culte dans les années 70 qui n'a pas enthousiasmé Progechoes ...
Un seul très bon album
- Tarkus (1971) > 4.28
Des albums d'intérêt moyen
- Emerson Lake and Palmer (1970) > 3.83
- Black Moon (1992) > 3.5
- Works Vol 1 (1977) > 3.35
- Trilogy (1972) > 3.33
- Works Vol 2 (1977) > 3.25
Et les autres...
- Emerson Lake and Powell (1985) > 2.75
- Love beach (1978) > 2.71
- Brain salad surgery (1973) > 2.4
- Pictures at an exhibition (1972) > 2.33
- In the hot seat (1994) > 1.72
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ELP
20 octobre 2011
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664. ELP In the hot seat (1994) > 1.72
1. Hand Of Truth (5:23) > 2
2. Daddy (4:42) > 3
3. One By One (5:08) > 1
4. Heart On Ice (4:19) > 3
5. Thin Line (4:46) > 1
6. Man In The Long Black Coat {Bob Dylan, arranged by Emerson} (4:12) > 2
7. Change (4:44) > 1
8. Give Me A Reason To Stay {Steve Diamond / Sam Lorber} (4:15) > 1
9. Gone Too Soon {Lake / Bill Wray / Keith Wechsler} (4:11) > 2
10. Street War > 1
11. Pictures At An Exhibition {Mussorgsky / Emerson / Lake / Palmer} (15:29)> 2
Le dernier album d'ELP est tout à fait dispensable, composé de chansons très quelconques voire ridicules (Give me a reason to stay) et d'une reprise de Pictures at an exhibition tout à fait inutile. On pourra apprécier quelques ballades de Greg Lake pour la route (Daddy, Heart on ice ) mais c'est tout...
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ELP
19 octobre 2011
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16:56
663. ELP Black moon (1992) > 3.5
1. Black Moon (6:59) > 4
2. Paper Blood (4:29) > 4
3. Affairs Of The Heart (3:47) > 3
4. Romeo And Juliet {Prokofiev, arranged by Emerson} (3:43) > 3
5. Farewell To Arms (5:10) > 5
6. Changing States (6:03) > 4
7. Burning Bridges {Mark Mancina} (4:45) > 2
8. Close To Home (4:29) > 4
9. Better Days (5:37) > 2
10. Footprints In The Snow (3:52) > 4
L'album de la reformation d'ELP n'est certes pas un grand album mais s'écoute avec plaisir.
Black Moon est un album très varié qui n'ennuie pas une seconde si l'on excepte deux titres très dispensables ( Burning bridges, sorte de candidat à l'Eurovision dans les 60's et le moderne Better days).
On appréciera:
> Black Moon, très énergique, proche d'un We will rock you de Queen
> Paper Blood, hard rock 70's avec riffs lourds entre Black Sabbath et Uriah heep
> Affairs of he heart, ballade folk de Greg Lake proche de Dylan
> Farewell to arms, ballade épique dont Progechoes est friand (belle vois grave de Greg Lake)
> Changing states, très lyrique musique de film
> Close to home, belle pièce de piano d'Emerson
> Footprints in the snow, encore une belle ballade acoustique de Greg Lake.
Non, vraiment, un album assez sympathique !
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17 octobre 2011
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16:02
662. ELP Emerson Lake and Powell (1985) > 2.75
1. The Score (9:07) > 3
2. Learning To Fly (3:50) > 2
3. The Miracle (7:01) > 2
4. Touch And Go (3:39) > 2
5. Love Blind (3:11) > 2
6. Step Aside (3:47) > 3
7. Lay Down Your Guns (4:23) > 4
8. Mars, Bringer Of War (7:55) > 4
9. The Loco-motion (bonus Track) (4:36)
10. Vacant Posession (bonus Track) (4:42)
Un nouveau batteur avec un P comme ELP et avec un p comme punch : Cozy Powell, en effet, en phase avec les 80's, martelle beaucoup les fûts..
Les cinq premiers titres sont bien ancrés dans les 80's avec une batterie qui martelle, beaucoup de réverbération et un Greg Lake qui resssemble beaucoup à Phil Collins (à tel point qu'on pense parfois au Genesis des années 80). Des plages qui visitent également la musique de film à grands espaces avec l'arrivée de la cavalerie ou le retour de Richard Coeur de Lion des croisades. Si The score est assee écoutable, les autres titres sont très dispensables avec des sons de claviers qui peuvent insupporter Progechoes et un Greg Lake qui en fait trop.
On revient sur terre avec le piano et un chant plus doux pour un Step aside tourné vers le jazz et une belle ballade, Lay down your guns.
L'adaptation classique habituelle est une interprétation réussie des planètes de Gustax Holst, Mars, bringer of war, très énergique entre Une nuit sur le mont chauve et L'apprenti sorcier de Dukas.
On appréciera enfin, en bonus, une version de la chanson populaire Loco-motion qu'avaient déjà interprété Grand Funk Railroad ou... Sylvie Vartan (Non , ce n'était pas un pari que de placer ici Sylvie Vartan ;-)
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16 octobre 2011
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661. ELP Love beach (1978) > 2.71
1. All I Want Is You (2:35) > 2
2. Love Beach (2:46) > 2
3. Taste Of My Love (3:33) > 2
4. The Gambler (3:23) > 4
5. For You (4:28) > 3
6. Canario (From Fantasia Para Un Gentilhombre) {J. Rodrigo} (4:00) > 3
7. Memoirs Of An Officer And A Gentleman (20:16) > 3
- 1. Prologue / The Education Of A Gentleman (5:33)
- 2. Love At First Sight (5:37)
- 3. Letters From The Front (5:20)
- 4. Honourable Company (A March) (3:46)
ELP a cédé à la demande de son label qui lui demandait de sortir un album de titres courts "radio-playable" et franchement, le groupe aurait dû s'abstenir.Et que dire du titre ou de la pochette façon Beach Boys à patte d' éph. alors que le punk anéantit le progressif ?
La première face est composée de pop-songs quelconques qui n'ont pas grand chose à voir avec le rock ( On sauvera du naufrage le rock and roll The Gambler) et la seconde face est réservée à une suite en 4 parties peu cohérente qui ne restera pas non plus dans la mémoire du prog. Ajoutons que le chant de Greg Lake est à mille lieues d'Epitaph ou I talk to the wind , ridicule dans les premiers titres et venant gâcher la belle prestation au piano d'Emerson dans la deuxième partie de la suite.
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ELP
15 octobre 2011
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18:10
660. ELP Works Vol 2 (1977) > 3.25
Il est d'usage de moquer ELP pour sa musique prétentieuse et démonstrative au pompiérisme exagéré et on n'oublie pas de gloser sur les 2 Works (Imaginez ! Oser appeler un album de rock "Oeuvres "...)
Si ces critiques sont parfois fondées (mais pas si souvent en fait...), il serait malhonnête de les attribuer aux deux volumes Works et en tout cas pas du tout à ce Volume 2 qui est tout sauf prétentieux ou démonstratif. Il s'agit, au contraire, d'un album tout à fait sympa fait de titres courts très vivants avec du très bon rock and roll (Tiger in a spotlight), des titres sympa style piano-bar western et grand orchestre de jazz ( Barrelhouse shake-down, Honky tonk train blues) de belles ballades de Greg lake (Watching over you, I believe in father christmas), des titres à tendance jazz (When the apple.., Bullfrog) et un très bon Maple leaf rag style fanfare de Scott Joplin.
Il y a bien quelques titres plus quelconques mais on passe un bon moment sans... prétention ;-)
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ELP
13 octobre 2011
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17:28
659. ELP Works Vol 1 (1977) > 3.35
DISC 1: 41:07
-- Keith Emerson --
1. Piano Concerto No. 1 {Emerson} (18:28) > 4
a) First Movement: Allegro Giojoso (9:24)
b) Second Movement: Andante Molto Cantabile (2:12)
c) Third Movement: Toccata Con Fuoco (6:52)
-- Greg Lake --
2. Lend Your Love To Me Tonight (4:05) > 4
3. C'est La Vie (4:20) > 4
4. Hallowed Be Thy Name (4:38) > 4
5. Nobody Loves You Like I Do (4:00) > 4
6. Closer To Believing (5:34) > 4
DISC 2: 46:16
-- Carl Palmer --
1. The Enemy God Dances With The Black Spirits (excerpt from "The Scythian Suite" 2° mv t{Prokofiev} (3:21) > 3
2. L.A. Nights (5:47) > 2
3. New Orleans (2:50) > 3
4. Two Part Invention In D Minor {Bach, arranged by Palmer} (1:58) > 3
5. Food For Your Soul (4:02) > 2
6. Tank (5:12) > 3
-- Emerson, Lake & Palmer --
7. Fanfare For The Common Man {Aaron Copland, arranged by Emerson} (9:45) > 4
8. Pirates (13:19) > 3
Il est d'usage de qualifier de prétentieux cet album et de le snober... N'en faites rien ! Progechoes ne voit pas ce qu'il y aurait de prétentieux à faire ce qu'on aime... L'album est double et comprend une face par musicien et une face collective.
Keith Emerson se fait plaisir sans doute et compose un véritable concerto pour piano assez réussi. Le premier mouvement est pastoral et bucolique avec un piano virevoltant et une certaine majesté. Après un court mouvement calme et serein, le troisième mouvement est plus moderne avec beaucoup d'éclat et d'énergie à l'image de la musique russe. On peut regretter le manque d'unité de ce concerto qui finalement évoque plutôt un poème symphonique.
Greg Lake propose cinq ballades bien agréables passant avec bonheur du folk au blues ou au country.
La face de Carl Palmer est plus inégale et variée avec des titres classisants, des titres de rock brouillons et des plages plus jazz avec ça et là quelques soli de batterie assez inutiles. Progechoes n'a pas été conquis mais cette face peut trouver son public.
Pour la face collective, Progechoes ira à contre-courant des avis habituels en préférant l'adaptation de Copland, Fanfare, assez envoûtante avec son rythme hypnotique alors que Pirates est plutôt une musique de film ordinaire avec une partie chantée peu agréable...
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12 octobre 2011
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17:18
658. ELP Brain salad surgery (1973) > 2,4
1. Jerusalem (2:44) >3
2. Toccata (7:23) > 2
3. Still... You Turn Me On (2:53) > 3
4. Benny The Bouncer (2:21) > 2
5 à 8. Karn evil 9 > 2
5. Karn Evil 9 (1st Impression - Part 1) (8:44)
6. Karn Evil 9 (1st Impression - Part 2) (4:47)
7. Karn Evil 9 (2nd Impression) (7:07)
8. Karn Evil 9 (3rd Impression) (9:03)
Progechoes montre peu d'intérêt pour cette musique pleine d'excès.
Toccata est l'adaptation d'un concerto pour piano de musique contemporaine tout à fait insupportable d'outrance dans le déjanté et les effets électroniques. Benny the bouncer est la "westernerie" désormais habituelle et tout à fait incongrue ici..
Quant à la longue suite Karn Evil 9, elle ne renouvelle pas la réussite de Tarkus tant elle oeuvre dans le démonstratif inutile et sans émotion dans une orgie de claviers aux sons horripilants aux oreilles de Progechoes : démonstration au pompiérisme insupportable et démonstration de virtuosité froide qui nous éloignent d'une véritable musique de groupe. Ajoutons que le chant rock, forcé et plus haut de Greg Lake ajoute à la déception...
Quant à la pochette, s'il est d'usage de la porter aux nues, Progechoes ne suivra pas non plus sur ce chemin...
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10 octobre 2011
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657. ELP Trilogy (1972) > 3.33
1. The Endless Enigma (Part One) (6:42) > 4
2. Fugue (1:57) > 3
3. The Endless Enigma (Part Two) (2:05) > 3
4. From The Beginning (4:17) > 4
5. The Sheriff (3:23) > 3
6. Hoedown (3:47) > 3
7. Trilogy (8:54) > 4
8. Living Sin (3:14) > 3
9. Abaddon's Bolero (8:08)> 3
Progechoes ne fut pas attiré par ce groupe (?) dans les années 70 et ne se trouve pas plus convaincu 40 ans plus tard...
Voilà un album sans grande cohérence et qui manque d'unité, les musiciens donnant plus l'impression de jouer les uns à côté des autres plutôt qu'ensemble. Emerson se fait plaisir avec la Fugue, se met en valeur dans le boléro ou devient inutilement démonstratif à la fin de Trilogy tandis que Lake propose de son côté une jolie ballade acoustique avec From the beginning. Et puis les exercices de style sont-ils nécessaires ? La fugue au milieu de The endless enigma est tout à fait incongrue et l'Abaddon's bolero et ses variations sur un rythme de boléro n'est pas très convaincant ni très créatif. Ajoutons pour la diversité la musique de saloon à la sauce Emerson (Le sheriff) et l'adaptation du rodeo d'Aaron Copland (Hoedown) pour un folklore countrisant ou encore un court titre rock (Living in).
Les deux titres les plus intéressants sont :
> The endless enigma : Une intro mystérieuse et prometteuse puis un bon passage où le groupe retrouve énergie et osmose avant un bon passage chanté de Greg lake mais le titre ne trouve pas de conclusion adaptée.
> Trilogy : Une belle première partie romantique piano/chant, une excellente partie centrale pleine d'énergie de groupe et une troisième partie décevante de démonstration inutile d'Emerson...)
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8 octobre 2011
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656. ELP Pictures at an exhibition (1972) > 2.33
Side 1 (19:02)
- a. Promenade > 3
- b. The Gnome > 3
- c. Promenade b> 2
- d. The Sage > 2
- e. The Old Castle > 1
- f. Blues Variations > 3
Side 2 (18:47)
- a. Promenade > 2
- b. The Hut Of Baba Yaga > 2
- c. The Curse Of Baba Yaga > 2
- d. The Hut Of Baba Yaga > 2
- e. The Great Gates Of Kiev > 3
- f. The End - Nutrocker> 3
Adaptation rock des Tableaux d'une exposition de Moussorgski, cet album live est plutôt inintéressant, sans grande cohésion, assez démonstratif (Blues variations, The curse of baba Yaga) et parfois horripilant (The old castle et ses soms aigus insupportables ou encore les effets inutiles dans The great gates of Kiev). On ne retrouve pas l'osmose entre les musiciens de Tarkus, Lake et Palmer étant souvent réduits à un rôle d'accompagnement . Ajoutons que les interludes courts ( Promenade) sont tout à fait ennuyeux et que la ballade acoustique chanté par Greg Lake (The sage) est assez soporifique...
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