16 janvier 2013
3
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/2013
20:57
805. ASTRA The black chord (2012) > 4.
1. Cocoon (8:45) > 4
2. The Black Chord (14:59) > 5
3. Quake Meat (6:41) > 4
4. Drift (4:39) > 4
5. Bull Torpis (2:56) > 3
6. Barefoot In The Head (9:13) > 5
Un album plus puissant et plus direct que The weirding mais les influences du prog 70's sont toujours vivaces.
- Cocoon : première partie floydienne avec intro typique du Floyd (souffle du vent et nappes de claviers en continu) et trip planant et deuxième partie plus vive et lumineuse et on pense tout de suite à Camel.
- The black chord : le meilleur titre de l'album alternant des passages calmes plein de musicalité et des séquences plus heavy et visitant tour à tour King Crimson, Genesis ou encore les Doors.
- Quake meat est un titre efficace très heavy avec un pont instrumental space.
- Drift est une belle chanson douce idéalement placée dans l'album
- Le court Bull torpis est plus anecdotique car peu développé.
- Barefoot in the head est la deuxième pièce de choix de l'album et le morceau le plus floydien par le chant du début au tempo lent et les pulsations floydiennes caractéristiques de la partie centrale instumentale. On appréciera également le très beau chant qui évoque les meilleurs titres de Phideaux. La partie finale est très heavy avecune guitare lourde qui accompagne les traits déchirants de l'autre guitare.
Au niveau des réclamations, on regrettera le son trop "plein" des titres et le manque de respiration qui peut parfois gêner et les fins bâclées de Cocoon et Quake meat.
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dans
Astra
13 janvier 2013
7
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/janvier
/2013
18:56
804. ASTRA The weirding (2009) > 5 ♥
1. The Rising Of The Black Sun (5:44) > 5
2. The Weirding (15:27) > 5
3. Silent Sleep (10:41) > 5
4. The River Under (8:41) > 5
5. Ouroboros (17:23) > 5
6. Broken Glass (3:45) > 5
7. The Dawning Of Ophiuchus (5:29) > 5
8. Beyond To Slight The Maze (11:36) > 5
Un superbe album issu tout droit des sphères progressives des 70's comme la pochette nous le suggère en vitrine...
Et il n'y aura pas tromperie sur la marchandise puisqu'au long des 78 mn de cet opus, on marchera sur les sentiers de la mémoire prog auprès de Pink Floyd, Eloy, Yes, Camel, King Crimson ou même Black Sabbath. La référence la plus marquante est cependant floydienne. Dès lentrée en matière puisque The rising of the black sun nous gratifie d'un clin d'oeil au Time des Floyd, le très long Ouroboros est tout à fait dans l'esprit d'Echoes et le chant très floydien de Beyond to slight the maze nous est très familier.
Un album somptueux caractérisé par de longs développements planants et mélodiques au tempo lent où les guitares et les claviers se révèlent très complices pour nous accompagner dans des voyages psychédéliques pas vraiment hypnotiques mais plutôt comme en apesanteur et toujours très mélodieux avec des arrangements superbes. Le chant est parfait entre Eloy et le Floyd et parfaitement équilibré,adapté et jamais dominant..
Ajoutons que l'album est parfaitement structuré avec un premier titre instrumental qui sert d'intro au meilleur titre de l'album The weirding ; le long instrumental Ouroboros est efficacement placé et suivi d'une courte très belle ballade Broken glass et enfin l'excellent Beyond to slight the maze est idéalement placé en guise de final avec son très bon crescendo qui n'est pas sans évoquer le Starship trooper du Yes album
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Astra