590. JEAN-LUC PONTY  The Acatama experience  (2007)  > 4.23

1. Intro (0:17)
2. Parisian Thoroughfare (4:41) > 4
3. Premonition (3:46) > 4
4. Point Of No Return (6:47) > 4
5. Back In The 60's (4:05) > 5
6. Without Regrets (4:31) > 5
7. Celtic Steps (5:54) > 4
8. Desert Crossing (3:05) > 4
9. Last Memories Of Her (5:23) > 5
10. The Atacama Experience (2:03) > 3
11. On My Way To Bombay (4:35) > 4
12. Still In Love (5:09) > 5
13. Euphoria (4:51) > 4
14. To And Fro (4:21) > 4

Le dernier Ponty en date est un excellent album qui fait plaisir. JLP revient aux choses essentielles avec un album très jazz, un son organique et acoustique et un véritable album de groupe.
The Acatama experience, c'est le voyage que Ponty a réalisé dans le désert chilien et où il avait été marqué par le silence très prenant du lieu. L'album est un voyage dans l'espace : Paris avec la reprise de Bud Powell, Parisian thoroughfare, l'Irlande avec Celtic steps, l'Inde avec On my way to Bombay, le Chili avec The Acatama experience...
C'est aussi un voyage dans le temps avec un retour au jazz (la plupart des titres) et au classique (Desert crossing au violon solo et Last memories of her en duo avec le piano.). Il n'y a guère que The Acatama experience qui revisite la période electro des 80's...
Véritable album de groupe puisque réalisé avec des musiciens qui tournent avec lui à travers le monde depuis de nombreuses années, avec un excellent pianiste, William Lecomte et avec la participation dans quelques titres de vieilles connaissances, les guitaristes Philip Catherine et Allan Holdsworth.

588. JEAN-LUC PONTY  No absolute time  (1992)  > 4

1. No Absolute Time (5:42) > 4
2. Savannah (9:18) > 4
3. Lost Illusions (5:03) > 4
4. Dance of the Spirits (4:59) > 4
5. Forever Together (5:46) > 4
6. Caracas (3:53) > 4
7. African Spirit (4:58) > 4
8. Speak Out (6:23) >4
9. Blue Mambo (6:12) > 4
10. Child in You (4:33) > 4

Avec les mêmes percussionnnistes africains que sur Tchokola, JL Ponty réalise un album excellent.

Si la couleur africaine n'est plus l'élement essentiel, les rytthmes vifs et enjoués aux percus sont la charpente essentielle de tous les titres de l'album avec un violon redevenu central et qui renoue avec le jazz, une très bonne basse très présente et de bons moments de piano à coloration jazz. Un très bon moment.

586. JEAN LUC PONTY  Storytelling  (1989)  > 4

1. In the Fast Lane (4:10) > 4
2. Tender Memories (5:20) > 4
3. Spring Spisode (5:52) > 4
4. Pastoral Harmony (4:22) > 4
5. Storyteller (4:26) > 4
6. Amazon Forest (4:27) >4
7. After the Storm (4:20) > 4
8. Journey's End (4:24) > 4
9. Chopin Prelude No 20 {With Violin Improvisation} (2:59) > 4

Après les errements des 80's, voilà un bel abum qui nous réconcilie avec Jean-Luc Ponty.

Une belle musique élégante et classieuse à l'image de la pochette pour un album très homogène qui sonne enfin à nouveau comme un groupe. On regrette simplement que la guitare se fasse très discrète.
Dans Tender memories, JL Ponty renoue avec son touché si particulier qui évoque les instruments à anche et propose un très bon opus en symbiose avec le sax. Les synthés sont plus enfin raisonnables et c'est le piano qui s'affiche pour des titres acoustiques très réussis : Pastoral harmony avec guitare acoustique et violon classique, After the storm et le prélude N° 20 de Chopin joué par la fille de JLP, Clara Ponty, accompagné d'une improvisation de Jean-Luc au violon classique.

584. JEAN-LUC PONTY  Fables (1985)  > 3.17

1. Infinite Pursuit (5:58) > 3
2. Elephants in Love (5:21) > 4
3. Radioactive Legacy (6:16) > 3
4. Cats Tales (4:54)  > 3
5. Perpetual Rondo (4:42) > 3
6. In the Kingdom of Peace (4:03) > 4
7. Plastic Idols (3:58) > 2

Après les deux "synthétiseries" précédentes, Fables est plus écoutable. Ponty s'entoure à nouveau de musiciens, le violon reprend la vedette, les synthés "modernes sont toujours présents mais beaucoup moins envahissants et les compositions sont meilleures. Pas de coup de coeur néanmoins dans cet album qui respire encore trop les 80's.
On retiendra Elephants in love qui n'est pas sans rappeler Ozric Tentacles et In the kingdom of peace où Ponty officie seul pour un beau titre planant, méditatif et empli de sérénité. Cats tales nous rappelle que Ponty n'a pas oublié le jazz... Les autres titres sont très dispensables même si on pourrait apprécier le vif Infinite pursuit et son rythme qui galope.

582. JEAN-LUC PONTY  Individual choice (1983)  >  2

1. Computer Incantations for World Peace (5:40) > 2
2. Far from the Beaten Paths (5:58) > 2
3. In Spiritual Love (7:00) > 2
4. Eulogy to Oscar Romero (2:34) > 2
5. Nostalgia (5:00) > 2
6. Individual Choice (4:56) > 2
7. In Spite of All (5:57) > 2

Un album insupportable pour Progechoes...
Jean-Luc Ponty fait le choix de l'individualité comme le suggère le titre de l'album, il délaisse quelque peu son violon et use et abuse des claviers. Des claviers synthétiques très... synthétiques, métalliques, horribles et répétitifs qui ne sont pas du tout en osmose avec le violon. Un violon qui n'apparaît dans la plupart des titres qu'après 3 ou 4 mn de synthétiseries horripilantes. Rien ne nous est épargné : boîte à rythmes, keyboard-bass, violon couvert par les synthés..
Même les 2 titres où apparaît Allan Hodsworth sont ratés ( Dans Nostalgia, le solo de guitare est corrompu par ces maudits claviers et In spite of all, seul titre où officient violon, guitare, basse, batterie, sans synthés, est très quelconque).

Je crains le pire pour les albums 80's de Ponty... A suivre...