28 juin 2013
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882. PERIFERIA DEL MONDO Nel regno dei ciechi (2013) > 4
1. Sakura Zensen (5:33) > 5
2. I Need U (4:10) > 4
3. Nel Regno Dei Ciechi (6:17) > 4
4. The Bridge's Resilience (4:04) > 4
5. Purity (6:31) > 3
6. Suburban Life (12:43) > 5
7. A Rutta O Jelu (7:13) > 4
8. Suburban Landscapes (1:26) > 4
9. Alibi (4:51) > 3
Periferia del mondo abandonne de plus en plus le jazz qu'on ne retrouve qu'épisodiquement dans Suburban life et A rutta o jelu et confirme sa tendance à inclure une bonne dose de hard rock (I need U, The bridge's resilience, Alibi, ...) voire de metal (quelques riffs dans Nel regno dei ciechi). On appréciera la belle chanson pleine d'émotion au sujet de Fukushima (Sakura zenzen), les beaux passages floydiens (l'excellent Suburban life et le court Suburban landscapes) et l'influence orientale de A rutta O jelu. On regrettera le chant parfois en décalage dans Nel regno dei ciechi et Alibi. (alors qu'il est très beau dans Sakura). Au final, si on regrette que le groupe s'éloigne du jazz-prog des premiers albums pour en arriver à un résultat moins original, Nel Regno est malgré tout un bon album.
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Periferia del mondo
24 juin 2013
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881. PERIFERIA DEL MONDO Perif3ria del mondo (2006) > 3.90
1. Periferia Del Mondo (10:52) > 4
2. Oceani (4:55) > 4
3. Suite Mediterranea incluso(8:37) > 4
4. Chiaroscuro (Le tango du diable) (4:58) >4
5. Come un gabbiano(8:53) > 4
6. Alghe (4:42) > 3
7. Synaesthesia (6:25) > 4
8. Angeli infranti (5:11) > 4
Bonus
9. Cartolina per il Giappone (4:33) > 4
10. Piove sul mare (3:04) > 4
Un album plus accessible et plus direct avec moins de jazz (quelques ponts jazzy ça et là simplement) mais qui propose toujours un progressif complexe, vif,alerte et mélodieux. La guitare est plus présente pour de nombreux soli de qualité ou des titres plus rock avec les riffs hard de la plage titre ou les guitares lourdes du très sabbathien Synaesthesia. Alessandro Papotto oeuvre toujours avec bonheur à la clarinette notamment dans l'excellent Suite mediterranea incluso ou dans cet air de bolero de Come un gabbiano mais aussi avec de belles parties de flûte et des interventions très veloutées au saxophone. Seul le très synthétique Alghe est un peu hors sujet.
On appréciera également les deux bonus : jolies petites pièces pour clarinette, sax et piano.
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22 juin 2013
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880. PERIFERIA DEL MONDO Un millione di voci (2002) > 3.42
1. Luci da un universo neonato (1:29) > 3
2. Percezioni della memoria (1:50) > 4
3. Un borghese piccolo piccolo: (9:10) > 3
4. Incanti e perplessità (5:03) > 3
5. Two as one (3:21) > 4
6. EvaLuna (4:19) > 3
7. Cercando la via (3:38) > 4
8. Can stop (4:18) > 4
9. Espresso (parte 2) (4:13) > 4
10. Immagine 1 (0:39)
11. Di foglie e di acqua (3:51) > 4
12. Un milioni di voce (6:58) > 4
13. Monologo (1:06) > 4
14. Io brucio (8:16) > 4
Le groupe veut ouvrir des chemins entre des musiciens et des musiques venus de divers horizons. Avec de nombreux invités, on visite, en effet, le jazz, alerte ou ambient, le jazz rock, le Canterbury, la musique de chambre ou expérimentale et on joue sur des ambiances et des sonorités très variées.
Si l'on apprécie la plupart des plages, cette accumulation de titres courts ne fait pas de l'album un opus cohérent qu'on a envie de remettre dans le lecteur.
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20 juin 2013
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879. PERIFERIA DEL MONDO In ogni luogo, in ogni tempo (2000) > 3.62
NB : L'édition 2010 a interverti les plages 2 et 6
1. L'infedele (8:01) > 4
2. In ogni luogo, In ogni Tempo (6:38) > 3
3. Leave your Daily (4:57) > 4
4. I Bless the Night (6:26) > 3
5. Meltèmi (10:08) > 4
6. Ladro (4:03) > 4
7. Brand - y (6:03) > 3
8. The ghosts in the Shell (11:57) > 4
Bonus (édition 2010)
9. L'infidele (live)
10. Brand-y/Arbeit macht frei (Area) (live)
Alliance réussie du rock et du jazz pour un progressif complexe, vif et riche en sonorités (clarinette, flûte et saxophone d'Alessandro Papotto). Ce jazz-rock alerte s'enrichit selon les plages, ici d'un côté Canterbury et sautillant comme chez Caravan (Ladro), là d'une ambiance space (Meltémi) ou ailleurs d'une couleur néo très Pendragon (Leave your daily). Le chant lyrique dans les titres les plus progressifs est un peu hors sujet pour Progechoes (pas très envahissant mais il empêche les coups de coeur). I bless the night est une belle chanson en anglais mais également hors sujet. On regrette aussi le long solo de batterie de trois minutes dans Brand-y. (la version live est meilleure avec un solo plus court)
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