14 septembre 2016
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1051. ANIMA MUNDI I me myself (2016) > 3.66
1. The Chimney, the Wheel and the War (18:02) > 4
2. Somewhere (10:48) > 4
3. Flowers (6:01) > 2
4. Clockwork Heart (4:08) > 3
5. Train to Future (15:11) > 4
6. Lone Rider (7:22) > 5
Pas vraiment enthousiasmé par ce nouvel opus de progressif symphonique classique. Claviers et guitare se partagent plus équitablement les honneurs certes avec de superbes soli mais les compositions à tiroirs ne sont pas totalement convaincantes tout comme les tutti qui étouffent les sloi de guitare. Mitigé aussi le nouveau chanteur : on n'aime pas le chant maniéré sans mélodie de Lullaby (acte I de la plage1) ou le chant criard de Flowers mais on n'apprécie beaucoup les tonalités très Beatles de l'acte II de Somewhere et la très belle chanson Lone rider.
Du bon travail mais si peu original en fait.
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Anima Mundi
13 septembre 2016
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1050. ANIMA MUNDI The lamplighter (2013) > 3.55
Suite The Lamplighter
1- On Earth beneath the stars (4.24) > 3
2- The call and farewell song (6.20) > 4
3- Light the lantern of your heart (6.09) > 2
4- The human house (3.57) > 3
Suite Tales from Endless Star
5- The dream child behind the mask (9.05) > 3
6- The return - Part I (3.29) > 5
7- Endless star (10.38) > 5
8- The return - Part II (3.24) > 4
Epilogue
9: His Majesty Love (6.58) > 3
Un album de prog symphonique moins flamboyant que The way et donc plus ordinaire avec des tutti et des crescendos convenus. Le nouveau chanteur a une voix plus grave et plus claire qui s'impose davantage et peut parfois trop dominer l'ensemble. Les claviers sont plus présents et la guitare rentre dans le rang mais nous offre encore quelques superbes soli.
La deuxième suite propose de meilleures plages avec un superbe titre acoustique (The return part I) et une excellente composition (Endless star) qui progresse bien et dans laquelle le groupe retrouve son peps et sa musicalité.
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Anima Mundi
12 septembre 2016
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1049. ANIMA MUNDI The way (2010) > 4.5
1. Time To Understand (13:59) > 5
2. Spring Knocks On The Door Of Men (26:32) > 5
3. Flying To The Sun (9:33) > 4
4. Cosmic Man (8:18) > 4
Un album de prog symphonique classique de haute volée. Compositions très fluides et production irréprochable nous donnent un produit fini bien ficelé alliant à merveille la flamboyance de Flower kings (beaucoup) à la délicatesse de Genesis (un peu) sans oublier Yes notamment par la forte présence de la basse. Un prog assez cinématographique par ses changements de séquences et l’alternance bien menée des moments intenses et des séquences plus douces. Le guitariste mène le jeu, omniprésent et excellent dans tous les domaines. Ne reste qu’à regretter un manque d’originalité tant le créneau symphonique est déjà bien fourni.
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Anima Mundi
8 septembre 2016
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16:38
1048. ANIMA MUNDI Jagannath orbit (2008) > 3.42
1. We Are the Light (17:43) > 4
2. The Awaken Dreamer in the Soul Garden Dreams the Flower Planets (4:39) > 4
3. Toward the Adventure (6:20) > 3
4. There's a Place not Faraway (5:20) > 3
5. Jagannath Orbit (in the Orbit of Love) (11:46) > 3
6. Rhythm of the Spheres (16:31) > 4
7. Sanctuary (5:21) > 3
Anima Mundi change de style et oeuvre désormais dans le progressif symphonique assumé entre Flower Kings et Yes. Guitares flamboyantes et basse yessienne sont au programme et les claviers synthétiques ne sont pas en reste pour proposer un prog symphonique très classique et pas très original. D'autant que tout ceci est souvent trop démonstratif et un chouïa pompeux. Le chant est plutôt quelconque sauf en de rares occasions où les harmonies vocales sont plaisantes. On regrette les tutti où la musicalité n'a plus court d'auatnt plus que le groupe nous offre à plusieurs occasions des passages de qualité.
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Anima Mundi
7 septembre 2016
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1047. ANIMA MUNDI Septentrion (2002) > 4
1. Horizonte (2:02) > 4
2. Por siempre (3:47) > 4
3. Centinela (5:18) > 3
4. Caleidoscopio (2:25) > 3
5. Peregrino del tiempo (11:34) > 5
6. Más allá (5:15) > 3
7. La Montaña del Vigía (4:27) > 5
8. Las Praderas del Corazón (6:36) > 4
9. Tierra invisible (3:53) > 4
10. El Hallazgo (5:47) > 4
11. El Umbral (8:43) > 5
12. Septentrión (11:16) > 4
Album qui marie avec bonheur folk, symphonique progressif et sonorités celtiques pour un résultat très sympathique au caractère vif, enjoué et dansant (folklorique) laissant également la place à quelques respirations douces et nostalgiques. On appréciera particulièrement l'excellent Peregrino del tiempo, le superbe titre epico-celtico-nostalgique La montana del vigia ou encore le très cinématographique El umbrai. Par contre, dans certains titres (3/4/6), le chant proche d'un progressif italien tirant vers la variété n'est pas très intéressant. On préfèrera le chant des belles ballades comme Caleidoscopio et El Hallazgo.
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