22 mai 2013
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875. SHADOW CIRCUS On a dark and stormy night (2012) > 3.11
1. Overture (8:09) > 4
2. Daddy's Gone (5:56) > 3
3. Whosit, Whatsit And Which (6:33) > 3
4. Make Way For The Big Show (8:42) > 2
5. Tesseract (5:20) > 4
6. Uriel (5:51) > 3
7. Camazotz (6:22) > 3
8. Ixchel (4:39) > 3
9. The Battle For Charles Wallace (7:00) > 3
Un album concept de progressif symphonique qui se veut flamboyant mais devient vite fatigant. La plupart des titres ont de belles intros prometteuses, mystérieuses et souvent floydiennes mais très vite le groupe se perd dans des tuttis compacts avec murs de claviers parfois inutilement démonstratifs. Le chant, plutôt criard, est perdu dans la masse sonore et la guitare est peu audible et rarement à son avantage. Overture est pourtant une belle entrée en matière symphonique mais très vite, on attaque le mur des sons inaudible et cela devient vite désagréable. Différents sont Tesseract, bon hard rock 70's, et Ixchel qui fait une pause sonore, sans convaincre, avec ses arpèges et ses nappes floydiennes. The battle for Charles Wallace termine l'album par un symphonisme épique et majestueux.
Décevant pour Progechoes...
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Shadow Circus
20 mai 2013
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874. SHADOW CIRCUS Whispers and screams (2009) > 3.81
1.Project Blue (total time: 33:46)
- a. Captain Trips (5:44) > 4
- b. The Long Road (4:15) > 3
- c. Big Fire (3:13) > 3
- d. The Seduction Of Harold Lauder (3:32) > 3
- e. The Horsemen Ride (6:47) > 4
- f. The Hand Of God (4:41) > 4
- g. Coming Back Home To You (5:28) > 4
2. When The Morning Comes (4:35) > 5
3. Willoughby (10:07) > 4
4. Angel (7:38) > 4
5. ...Then In July, The Thunder Came (4:45) > 4
Shadow Circus laisse le prog flamboyant et jubilatoire du premier album pour une immersion dans le hard 70's notamment au début de Project Blue avec un Captain trips qui lorgne du côté de Deep Purple et la fin de The long road qui n'est pas sans rappeler Status Quo. Chacun trouvera ici et là d'autres références du même genre. Après quelques titres dispensables (b,c,d), on appréciera le très folk The horsemen ride, guitare acoustique, percus ethniques et petit côté celtique sympa avant de tomber sous le charme des deux ballades de qualité : Coming back home to you ballade bluesy avec orgue qui évoque Levon Helm et The Band ; et puis surtout When the morning comes, superbe ballade acoustique et épique avec harmonies vocales et violoncelle. Willoughby et Angel seront ensuite l'occasion d'apporter quelques touches floydiennes avant de terminer sur un instrumental de type boléro. Côté réclamation, on regrette la structure de l'album, sans doute trop long, et ce morceau de 33 mn qui ne fait que juxtaposer les plages sans progressivité ni cohérence et une production parfois moyenne (la batterie des premiers titres et un léger manque de clarté sonore dans Willoughby par exemple)
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Shadow Circus
18 mai 2013
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873. SHADOW CIRCUS Welcome to the freakroom (2006) > 4
1. Shadow Circus (7:25) > 3.5
2. Storm Rider (7:49) > 4
3. Inconvenient Compromise (5:58) > 4
4. Radio People (5:43) > 4
5. In the Wake of a Dancing Flame (6:34) > 4
6. Journey of Everyman (11:46) > 4.5
Progressif flamboyant, lumineux et jubilatoire qui met Shadow Circus dans le sillage des Flower Kings ou de Moon Safari. Ils ne sont pas encore au niveau de leurs grands aînés mais cet opus est très prometteur. C'est très alerte et très rythmé, très mélodique aussi avec le punch du prog US. Chacun y trouvera son bonheur, du très rythmé Storm Rider au folk de In the wake of a dancing flame en passant par Inconvenient compromise avec sa guitare proche de IQ et son passage jazzy ou encore le hit en puissance Radio People, très accrocheur et sympathique avec son côté dansant celtique. Une courte suite symphonique, très belle, (Journey of everyman) termine parfaitement l'album. Un opus qui n'a pas encore la complexité d'un Flower Kings ou d'un Tangent mais qui est très riche de mélodies accrocheuses et de sonorités flamboyantes.
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