15 novembre 2015
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14:41
1022. DAVID GILMOUR Rattle that lock (2015) > 4.3
1. 5 A.M. (3:07) > 4
2. Rattle That Lock (4:57) > 5
3. Faces of Stone (5:34) > 5
4. A Boat Lies Waiting (4:36) > 4
5. Dancing Right In Front of Me (6:13) > 4
6. In Any Tongue (6:48) > 4
7. Beauty (4:30) > 5
8. The Girl in the Yellow Dress (5:27) > 3
9. Today (5:57) > 4
10. And Then... (4:32) > 5
Un bien bel album de David Gilmour une nouvelle fois. D'aucuns regretteront le manque d'ambition ou le côté paresseux notamment avec ces nombreux titres en fade out sans véritable conclusion. Une fois accepté que Gilmour fasse à 70 ans l'album qui lui plaît, on passe à vrai dire un très bon moment avec un album somme toute très varié. Le célèbre jingle de la SNCF est très bien utilisé, dans Rattle that lock, sans exagération, pour un pop-rock très réussi. Les titres lents sont superbes et la voix de Gilmour est superbe dans le registre plaintif du blues notamment dans l'excellent Faces of stone. On y trouvera aussi une incursion côté jazz avec Dancing right in front of me et le moins intéressant The girl in the yellow dress qui relève de l'ambient bar très paresseux pour le coup. On n'oublie pas le côté floydien qu'on retrouvera dans In any tongue et Beauty, titre court qui aurait pu servir d'intro à une longue plage floydienne quelques décennies en arrière. Prêtons l'oreille également à un Today très différent du Gilmour habituel dans un registre un peu funky mais avec une guitare qui évoque Animals.
Tout ceci encadré par 2 superbes titres (5 A.M et And then..) où la guitare de David, superbe, nous régale avec une atmosphère chaude, pleine d'une nostalgie très sereine, très propice à un retour sur ses souvenirs par un après-midi d'automne un peu maussade...
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dans
David Gilmour
7 novembre 2012
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15:05
778. DAVID GILMOUR On an island (2006) > 5 ♥
1. Castellorizon (3:54)
2. On an Island (6:47)
3. The Blue (5:26)
4. Take a Breath (5:45)
5. Red Sky at Night (2:51)
6. This Heaven (4:24)
7. Then I Close My Eyes (5:27)
8. Smile (4:03)
9. A Pocketful of Stones (6:17)
10. Where We Start (6:46)
A l'époque de sa sortie, Progechoes avait espéré que cet album soit un nouvel album de Pink Floyd...
Castellorizon fait illusion un instant, proposant une belle intro floydienne à l'album, une intro entre space et sympho avec les cloches de Division bell et la guitare magique qui apparaît à 2'17...
Et puis non... dès On an island, on a compris...tempo lent... voix traînante au coin du feu... David Gilmour se fait plaisir entouré de quelques amis prestigieux et va nous offrir neuf friandises paresseuses et nonchalantes qui fondent doucement en bouche... Que du bonheur, je vous dis...
Vous reprendrez bien un chocolat ?
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778b. DAVID GILMOUR Live in Gdansk (2008) > 5 ♥
Superbe live indispensable !!
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david gilmour
5 novembre 2012
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777. DAVID GILMOUR About face (1984) > 3.60
1. Until We Sleep (5:12) > 3
2. Murder (4:58) > 4
3. Love On the Air (4:18) > 4
4. Blue Light (4:35) > 3
5. Out of the Blue (3:36) > 3
6. All Lovers are Deranged (3:14) > 3
7. You Know I'm Right (5:04) > 3
8. Cruise (4:39) > 5
9. Let's Get Metaphysical (4:09) > 4
10. Near the End (5:43)> 4
Un album différent qui ne rentre pas dans la case Floyd et où la guitare magique de Gilmour n'a pas la vedette. Parfois très typé 80's avec une batterie qui s'impose sans finesse, parfois mal produit avec un son brouillon (Until we sleep, All lovers are deranged), c'est un album assez divers et sans unité. Les cuivres s'invitent ça et là comme dans Blue light, façon grand orchestre ou dans Let's get metaphysical qui évoque quelque peu Atom heart mother.
Finalement, c'est la voix très agréable de Gilmour qui sauve l'opus en proposant quelques belles chansons, notamment le très beau Cruise qui s'abandonne paresseusement dans un final reggae.
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dans
david gilmour
4 novembre 2012
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14:19
776. DAVID GILMOUR same (1978) > 5 ♥
1. Mihalis (5:48) > 5
2. There's no way out of Here (5:10) > 5
3. Cry from the Street (5:13) > 5
4. So far Away (5:50) > 5
5. Short and Sweet (5:26) > 5
6. Raise my Rent (5:32) > 5
7. No way (5:32) > 5
8. It's deafinitely (4:27) > 4
9. I can't breath Anymore (3:08) > 5
Progechoes se doit de réparer un oubli fâcheux et de parcourir la discographie (paresseuse, il est vrai) du maître de la guitare magique avant la fin du monde qui approche à grands pas...
Dès le début de Mihalis, l'ambiance gilmourienne est posée entre sérénnité et bien-être, basse et batterie rassurantes et familières, tempo lent comme un éloge de la lenteur et de la paresse, excellent remède à ce monde de dingues... Et puis, à 2'55, c'est parti pour la guitare magique, son chaud et rond, nostalgie bluesy et soli à nuls autres pareils !
Avec There's no way out of there, la voix du Floyd est là, l'ambiance du Floyd est là et oui... le Floyd, c'est lui, David Gilmour et cet album aurait fait un très bon album de Pink Floyd si Roger Waters n'avait pas décidé de faire sa psychanalyse avec The Wall. Après un bon blues-rock à la ZZ Top (Cry from the street), c'est une succcession de titres tous plus floydiens les uns que les autres avec des sonorités qui sont autant de clins d'oeil à la discographie passée du Floyd d'Obscured by clouds à Animals) et le solo de Raise my rent n'est pas loin d'être le meilleur de Gilmour. Même si progechoes apprécie moyennement les aigus à la Hendrix de It's deafinitely, il se doit de faire de cet album superbe un coup de coeur floydien !
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david gilmour
