496. THE MARS VOLTA De-loused in the comatorium (2003) > 2.1
1. Son et Lumiere (1:35) > 2
2. Inertiatic ESP (4:24) > 3
3. Roulette Dares (The Haunt of) (7:31) > 3
4. Tira Me a las Arañas (1:29) > 2
5. Drunkship of Lanterns (6:20) > 1
6. Eriatarka (7:06) > 2
7. Cicatriz ESP (12:29) > 3
8. This Apparatus Must Be Unearthed (4:58) > 1
9. Televators (6:19) > 3
10. Take the Veil Cerpin Taxt (8:42) > 1
COURAGE, FUYONS
The Mars Volta faisant figure de leader du renouveau du prog, il me fallait me faire violence et me lancer dans sa discographie. Une première écoute, il y a quelques années m'avait fait fuir...
Une nouvelle écoute attentive (si tant est que cela fut possible) ma laisse perplexe. The Mars Volta n'a pas inventé le fil à couper le beurre : les recherches sonores ou l'expérimentation n'ont pas attendu ce groupe depuis que King Crimson inventa le prog. Tutti brouillons, sons très aigus que je ne supporte pas ou explosions sonores brutales ne débouchent sur rien de construit et n'apportent ni l'émotion, ni les paysages oniriques propres au rock progressif. D'autre part, s'il suffit de déstructurer les compositions pour faire figure de pionnier avant-gardiste, d'autres avant eux s'y sont essayé et ce genre de musique ne provoque chez Progechoes que de l'agacement.