768. KAÏPA Vittjar (2012) > 4
1. First Distraction 3.00 > 4
2. Lightblue And Green 11:59 > 4
3. Our Silent Ballroom Band 22:08 < 4
4. Vittjar 3:47 > 4
5. Treasure-House 7:32 > 4
6. A Universe Of Tinyness 7:22 > 4
7. The Crowned Hillsides 10:31 > 4
8. Second Distraction 2:20 > 4
Un album agréable de prog-folk symphonique très mélodique. Côté folk avec violon et flûte, airs folkloriques (dont Vittjar chanté en suédois) ou encore le chant emphatique à la Ian Anderson au début de Lightblue and green. Côté symphonique avec des couleurs Genesis notamment dans la première partie de la longue suite Our silent ballroom band, l'influence de Yes dans la deuxième partie de Lightblue and green et une guitare jubilatoire façon Flower Kings qui parcourt tout l'album.
Les vocaux sont très divers avec les possibilités multiples de Patrik Lundström de Ritual et la belle voix féminine de Aleena Gibson.
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622. KAIPA In the wake of evolution (2010) > 3.62
1. In The Wake Of Evolution (10:57) > 4
2. In The Heart Of Her Own Magic Field (5:12) > 3
3. Electric Power Water Notes (17:51) > 4
4. Folkia's First Decision (2:33) > 4
5. The Words Are Like Leaves (5:36) > 4
6. Arcs Of Sound (8:22) > 3
7. Smoke From A Secret Source (9:24) > 3
8. The Seven Oceans Of Our Mind (10:09) > 4
Dès les premières notes, une mélodie enjouée nous rappelle les Flower Kings pour le premier titre, In the wake of evolution, très 70's tendance Yes. Un album où le côté folk est mis en avant notamment dans les intros avec flûte et guitare acoustique : In the heart of her own magic field qui commence de belle manière tel "Easter" de Marillion à tel point qu'on attend Steve Hogarth... mais malheureusement, le titre n'évolue pas bien avec une montée en puissance mal venue et le chant criard d'Aleena Gibson ; Folkia's first decision est un bel instrumental folklorique ; The seven oceans of our mind est un très bon titre avec sa superbe entrée en matière folk qui va crescendo puis une belle seconde partie épique avec vocalises.
On appréciera aussi le très bon Electric power water notes et son excellente partie heavy-prog avec rythmes répétitifs proches d'Ozric Tentacles. Pour le reste, des titres plus ou moins intéressants de prog 70's classique.
Notons enfin que le chant reste pour Progechoes le point faible de Kaïpa : un chant (tant féminin que masculin) inégal, capable d'approcher la perfection sans jamais y parvenir mais aussi parfois insupportable car trop criard.