345. DREAM THEATER Awake (1994) > 2.36
1. 6:00 (5:31) > 3
2. Caught in a Web (5:28) > 3
3. Innocence Faded (5:43) > 1
4. Erotomania (6:45) > 4
5. Voices (9:53) > 3
6. The Silent Man (3:48) > 2
7. The Mirror (6:45) > 1
8. Lie (6:34) > 2
9. Lifting Shadows Off a Dream (6:05) > 2
10. Scarred (11:00) > 3
11. Space-Dye Vest (7:29) > 2
FATIGANT ET INSIPIDE
Les 75 mn de cet album sont une épreuve...
Aucune mélodie ne s'impose et les compositions sont tellement destructurées et sans fil conducteur qu'on ne retient rien quand l'écoute est terminée.
Deux titres se disputent la palme de la pénibilité : Innocence faded avec son chant horrible pendant plus de 4 mn suivi de démonstrations gratuites et The mirror avec son batteur qui bourrine, son chant braillard et ses rifs répétitifs et sans inventivité. Et quand le groupe tente le progressif, c'est tellement faussement complexe que ça en devient un embrouillamini sans nom.
Pourtant, l'instrumental (chic !) Erotomania qui tente une approche mélodique ou le début floydien de Scarred montre que le groupe a des ressources autre que l'esbrouffe.