947. ATOLL L'araignée-mal (1975) > 3.75
1. Le Photographe Exorciste (8:17) > 3
2. Cazotte No.1 (6:21) > 4
3. Le Voleur d'Extase (7:33) > 4
4. L'Araignée-Mal > 4
i) Imaginez le temps (6:41)
. ii) L'Araignée-Mal (5:10)
. iii) Les robots débiles (3:35)
iv) Le cimetière de plastique (6:20)
Une très bonne suite, L'araignée-mal, qui joue sur les crescendos et des atmosphères variées et qui profite de l'apport du violon de Richard Aubert et de la qualité du nouveau guitariste, Chris Beya, dont les interventions sont remarquées à la fin de la partie I et dans la partie IV.
Le photographe exorciste est un titre onirique qui surfe sur les nappes de claviers et la basse hypnotique de Jean-Luc Thilliot.
Cazotte N° 1 est un bon jazz-rock comme on les aime et Le voleur d'extase permet à Chris Beya de prouver sa virtuosité à la guitare.
Considéré comme le meilleur album d'Atoll, l'album présente encore des imperfections avec des tuttis mal maîtrisés parfois agaçant comme la fin du Photographe exorciste ou des vocaux assez moyens.