14 mars 2011
1
14
/03
/mars
/2011
15:09
560. SLEEPYTIME GORILLA MUSEUM Of natural history (2004) > 3
1. A Hymn to the Morning Star (5:40)
2. The Donkey-Headed Adversary of Humanity Opens the Discussion (6:01)
3. Phthisis (3:44)
4. Bring Back the Apocalypse (4:10)
5. FC: The Freedom Club (10:48)
6. Gunday's Child (6:56)
7. The 17-Year Cicada (3:41)
8. The Creature (6:00)
9. What Shall We Do Without Us? (2:38)
10. Babydoctor (13:59)
11. Cockroach (2:12)
12. Bonus-/Hiddentrack (5:56)
Ce deuxième album est plus intéressant et digne d'intérêt sans doute cependant Progechoes n'est pas très attiré par ce genre musical qui relève davantage du spectacle que de la musique quelque part entre une expression théâtrale et l'illustration sonore d'un concept.
(pas très envie de creuser davantage...)
Published by Progechoes
-
dans
SGM
13 mars 2011
7
13
/03
/mars
/2011
10:15
559. SLEEPYTIME GORILLA MUSEUM. Gand opening and closing (2001) > 1
1. Sleep is Wrong (6:35)
2. Ambugaton (5:38)
3. Ablutions (6:05)
4. 1997 (4:48)
5. The Miniature (0:59)
6. Powerless (9:30)
7. The Stain (6:46)
8. Sleepytime (10:16)
9. Sunflower (7:52)
(Il y a 3 bonus sur l'édition 2006 mais est-ce bien nécessaire d'en rajouter ? )
Note : 1 > Ils le vendent, ça, s'emmerdent pas !
Franchement, faut pas exagérer l'intellectualisation de productions "artistiques". Elle a bon dos la création...
Il paraît que les SGM sont les dadaïstes du rock (mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, entre 1916 et 1925, se caractérisa par une remise en cause, à la manière de la table rase, de toutes les conventions et contraintes idéologiques, artistiques et politiques.)
Alors, sous prétexte de remettre en cause les contraintes, on fait n'importe quoi et il y a toujours des gens qui vont s'extasier.. Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire dans certaines choniques dithyrambiques !! Des propos creux pseudo intellectuels et philosophiques sur une toile toute blanche ("vide sidéra"l ai-je lu quelque part... ou encore "œuvrant comme des songes aux contours ambigus et révélateurs d’angoisses puisées dans les recoins de notre plus mauvaise conscience"...) Il faut arrêter d'écrire n'importe quoi en accumulant les propos abstraits et de s'extasier en expliquant qu'on va rentrer dans leur univers après 99 écoutes...
Progechoes n'y entend qu'une production agaçante, bruitiste et minimaliste. Des minutes entières où il ne se passe rien avec même des vides (sans doute plein de sens comme les toiles toute bleues du peintre), des vocaux horribles, agaçants ou ridicules, des traits musicaux comme autant de punitions pour les oreilles... Les mélodies,ce serait incongru et déplacé d'en parler... Tout ça pour une musique sans émotion, sans intérêt mélodique ou musical et sans force d'évocation (comme le ferait un Univers Zero). Alors, quoi ? Juste intellectuel et froid ?
Published by Progechoes
-
dans
SGM
12 mars 2011
6
12
/03
/mars
/2011
11:22
558. AGENTS OF MERCY Dramarama (2010) > 3.87
1. The Duke Of Sadness > 3
2. Last Few Grains Of Hope > 4
3. Peace United > 4
4. Journey > 5
5. Gratitude > 4
6. Meet Johnnie Walker > 3
7. Cinnamon Tree > 4
8. The Ballad Of Mary Chilton > 4
9. Roger The Tailor > 4
10. Conspiracy > 3
11. We Have Been Freed > 4
12. Time > 4
Dans la lignée du premier album, Agents of Mercy propose un rock progressif très 70's à la rencontre de Genesis et Flower Kings avec les défauts que Progechoes regrette parfois - trop de chant et peu de mélodies ou thèmes qui font mouche - ( notamment dans The duke of sadness ou Conspiracy). On apprécie quand le chant laisse la musique se développer comme dans Journey et ses excellentes parties de guitare et claviers ou encore dans la deuxième partie de We have been freed. A côté de ce prog classique, Agents of mercy offre des ballades ou chansons douces très agréables ( Gratitude, Time) et des folk-songs quelque peu country que Progechoes apprécie toujours (Cinnamon tree, The ballad of Mary Chilton)
Published by Progechoes
-
dans
Agents of mercy
6 mars 2011
7
06
/03
/mars
/2011
18:48
557. AGENTS OF MERCY The fading ghosts of twilight (2009) > 3.5
1. The Fading Ghosts Of Twilight (7:29) > 3
2. The Unwanted Brother (5:45) > 3
3. Afternoon Skies (4:01) > 4
4. Heroes & Beacons (9:06) > 4
5. Jesus On The Barricades (4:02) > 4
6. Waiting For The Sun (5:17) > 4
7. A Different Sun (8:08) > 3
8. Ready To Fly (4:53) > 3
9. People Like Us (4:54) > 4
10. A Soldiers Tale (11:48) > 3
11. Bomb Inside Her Heart (4:25) > 3
12. Mercy & Mercury (7:56) > 4
Nouveau projet de Roine Stolt avec la section rythmique de Flower Kings et Nad Sylvan dont le chant donne un côté génésien à certains titres (The fading ghosts of twilight, Heroes and beacons) .Cependant, l'ensemble reste très proche de Flower Kings mais moins flamboyant et plus mélancolique. L'album est agréable mais manque de thèmes accrocheurs et Progechoes regrette que le chant omniprésent prenne l'ascendant sur la musique ; quelques soli délicieux de guitare ça et là nous laissent sur notre faim côté musique. Quelques titres à tendance folk sont bien agréables entre Bob Dylan et Neil Young (Afternoon skies, Jesus on barricade)
Published by Progechoes
-
dans
Agents of mercy
1 mars 2011
2
01
/03
/mars
/2011
17:40
556. YUGEN Iridule (2010) > 3
1. On the brink (0:51) >3
2. The scuttle of the past out of the cupboards (6:37) > 4
3. Iridule (3:08) > 2
4. Overmurmur (8:49) >4
5. Scribbled (1:42) > 2
6. Becchime (6:18) > 4
7. Ice (1:46) > 2
8. Ganascia (4:10) > 3
9. Thaw (1:40) > 2
10. Serial(ist) killer (5:43) > 3
11. Cloudscape (7:53) > 4
Attiré par les premières écoutes (Je m'étais d'ailleurs procuré un peu vite les3 albums du groupe), Progechoes est un peu déçu après des écoutes répétées. Une fois de plus, Yugen intercale entre les titres des interludes (avec voix féminine évanescente) dont l'intérêt est très limité. Les compositions sont souvent désarticulées (Ganascia, Serial killer), passant du coq à l'âne sans cohérence pour une musique qui fait plus plaisir aux musiciens qu'à l'auditeur.
Quelques titres (ceux qui m'avaient d'abord attiré) sont plus abordables car plus structurés comme les crimsoniens The scuttle of the past et Overmurmur.
Published by Progechoes
-
dans
yugen
25 février 2011
5
25
/02
/février
/2011
17:41
555. YUGEN Yugen plays Leddi Uova fatali (2008) > 3.55
1. Escher (3:50) > 4
2. Abisso (2:11) > 3
3. Campo (3:29) > 3
4. Colonia (8:17) > 4
5. Mattarello (2:33) > 4
6. Piani (5:50) > 3
7. Sviluppi (4:47) > 4
8. Uova fatali > 3
9. Complicazioni (6:11) > 4
Yugen poursuit sa quête de la synthèse entre le classique et le rock, entre l'acoustique et l'électrique, avec un album très varié qui manque d'unité passant du RIO à la musique de chambre, de l'expérimental bruitiste à la valse en visitant au passage le jazz-rock ou King Crimson. Pas encore tout à fait convainquant...
Published by Progechoes
-
dans
yugen
23 février 2011
3
23
/02
/février
/2011
11:21
554. YUGEN Labirinto d'acqua (2006) > 2.5
1. sévére réprimande (0:50) > 2
2. catacresi (6:35) > 4
3. omelette norvegese (1:07) > 3
4. corale metallurgico (7:33) > 3
5. danse cuirassée (periode grecque) (1:03) > 2
6. brachiologia (3:11) > 2
7. la mosca stregata (0:56) > 2
8. quando la morte mi colse nel sonno (9:23) > 3
9. skellotron 003 (1:23) > 2
10. le rovine circolari (6:53) > 2
11. anastomosi (1:28) > 2
12. danze corazzate (3:49) > 3
13. labirinto d'acqua (1:21) > 2
14. incubi concentrici (4:42) > 3
Yugen :14 musiciens qui proposent un rock progressif avant-gardiste qui oeuvre à la rencontre de la musique de chambre et du rock. Progechoes n'est pas convaincu par ce premier opus dont la structure n'est pas intéresante : les 7 interludes courts et minimalistes qui séparent les pièces majeures sont inutiles et n'apportent rien au propos.
A l'opposé d'Univers Zero dont la force évocatrice est attirante, la musique deYugen se révèle ici trop intelectuelle et froide. Les titres ne sont pas structurés et la profusion de breaks incohérents et artificiels nuit à l'ensemble. On apprécie les moments dynamiques mais les moments calmes pianissimo quelque peu expérimentaux sont peu enthousiasmants. On reste donc sur sa faim avec une accumulation de thèmes et d'ambiances seulement juxtaposés qui ne provoquent ni enthousiasme ni émotion.
Published by Progechoes
-
dans
yugen
21 février 2011
1
21
/02
/février
/2011
10:01
553. UNIVERS ZERO Clivages (2010) > 5 ♥
1. Les Kobolds (4:15) > 5
2. Warrior (12:10) > 5
3. Vacillements (3:35) > 5
4. Earth Scream (3:11) > 5
5. Soubresauts (7:59) > 5
6. Apesanteur (3:40) > 5
7. Three Days (5:53) > 5
8. Straight Edge (13:57) > 5
9. Retour de Foire (7:42) > 5
10. Les Cercles d'Horus (3:45) > 5
Clivages pourrait bien être le meilleur album d'Univers Zero à ce jour. Il se révèle très accessible mais sans concessions et présente toutes les facettes de groupe. Progechoes le recommande pour découvrir Univers Zero.
Toutes les facettes du groupe ?
> Les Kobolds, très dansant à tendance folklorique nous rappelle l'intérêt d'UZ pour les danses venues de l'est.
> La musique de chambre est ici représentée par des titres plutôt courts (Vacillements, véritable trio pour violon, basson et clarinette, Apesanteur ou encore Three days)
> Soubresauts pour un exemple du rock de chambre cher à UZ
> Les cercles d'Horus nous montre la capacité du groupe à développer une musique à l'amplitude et au volume dignes d'un orchestre classique
> Earth scream pour l'aspect ambient indus mystérieux bruitiste comme sur Implosion
> Enfin, les deux titres longs ( Warrior et Straight edge) pour le meilleur Univers Zero, celui des longues suites épiques à la musique d'une puissance évocatrice et inéluctable rarement rencontrée dans le prog.
Warrior : intro mystérieuse, angoissante diront certains, puis la batterie entre en scène avec tous les instruments pour une montée crescendo irrésistible vers le combat... Après le break, le basson, comme dans les meilleurs UZ, batifole, découvre, s'interroge... mais le danger est toujours là avec la basse qui gronde et les cymbales qui annoncent le pire... Progechoes vous laisse découvrir la suite.
Staight edge : le crescendo initial se fait par l'entrée en lice successif de tous les instruments qui nous amène vers une jam endiablée entre rock et jazz... après le break angoissant, le deuxième moment fort sera plus expérimental, ajoutant la voix pour un moment de folie digne du meilleur Hérésie.
Published by Progechoes
-
dans
Univers Zero
18 février 2011
5
18
/02
/février
/2011
17:12
553. UNIVERS ZERO Implosion (2004) > 4
1. Suintement (Oozing) (1:13)
2. Falling Rain Dance (4:12)
3. Partch's X-Ray (5:21)
4. Rapt D'Abdallah (3:01)
5. Miroirs (Mirrors) (1:18)
6. La Mort de Sophocle (Sophocle's Death) (3:11)
7. Ectoplasme (1:07)
8. Temps Neufs (4:56)
9. Mellotronic (4:04)
10. Bacteria (1:28)
11. Out of Space 4 (2:52)
12. First Short Dance (0:42)
13. Second Short Dance (0:41)
14. Variations on Mellotronic's Theme (3:04)
15. A Rebours (In Revers) (1:56)
16. Meandres (Meanderings) (9:38)
(Difficile de noter chaque titre de manière objective avec toutes ces plages très courtes...)
Un peu perplexe au moment d'évaluer cet album... D'abord emballé à la première écoute par les ambiances et puis un peu gêné par le manque d'unité et la profusion de plages courtes. (Progechoes n'étant pas friand de ce genre de structure d'albums aux plages nombreuses et courtes).
Implosion donne plutôt l'impression d'un album solo de Daniel Denis même s'il s'est entouré à nouveau de nombreux musiciens. La batterie est à l'honneur à la manière des tambours du Bronx voire des taïko, les tambours japonais et l'électronique est mise à contribution pour concocter des ambiances indus ou mystérieuses dignes de bande-son de films de science-fiction. (Suintement ferait une formidable intro pour un titre de Pink Floyd) Ces plages courtes sont excellentes mais trop... courtes et isolées.
Quelques plages différentes nous rappellent parmi les hommes mais se trouvent en décallage avec l'athmosphère de l'album ( le sautillant Rapt d'Abdalllah, Temps neufs façon jazz big band ou Variations on mellotronic's theme très proche de la musique de chambre)
Published by Progechoes
-
dans
Univers Zero
17 février 2011
4
17
/02
/février
/2011
17:50
552. UNIVERS ZERO Rhythmix (2002) > 2.75
1. Terres Noires (6:06) > 2
2. Rêve Cyclique (5:53) > 4
3. Rouages: Second Rotation (3:38) > 4
4. The Invisible Light (3:09) > 3
5. Phobia (5:31) > 4
6. Zorgh March (3:23) > 2
7. Zébulon (2:19) > 3
8. Forêt Inviolée (2:19) > 2
9. Shangaï's Digital Talks (4:48) > 2
10. Emotions Galactiques (5:47) > 2
11. Waiting for the Sun (3:16) > 2
12. The Fly-Toxmen's Land (4:50) > 3
13. Rêve Cyclique (0:50)
Album peu passionnant dans lequel l'amateur d' Univers zero reste sur sa faim. Il est vrai qu'il faut évoluer et explorer d'autre voies mais encore faudrait-il que les compositions soient attirantes. La nouveauté, c'est l'utilisation d'instruments inhabituels chez UZ comme la flûte, la trompette ou encore l'accordéon mais le choix de ne proposer que des titres très courts n'est pas très alléchant. Des plages minimalistes (Forêt inviolée, Waiting for the sun, The invisible light) ou répétitives sans but (Shangaï digital talks, Emotions galactiques) qui pourraient être des matériaux pour des compositions plus ambitieuses mais qui laisse l'auditeur sur sa faim.
Quelques titres sont plus intéressants comme Rêve cyclique qui conserve quelque peu l'ineluctable caractère d'UZ en y associant la flûte, l'original Rouages qui réunit avec bonheur deux mondes lointains : un côté indus (batterie lourde et souffle de la machine) et un côté médiéval à la Minimum Vital ou encore Phobia et son passage Canterbury.
Published by Progechoes
-
dans
Univers Zero